A chacun de tes pas, la petite perle traversée d’une chaînette d’or fin vient rouler contre ton clitoris, bille ronde et blanche contre bille ronde et rose, tandis que les autres perles, plus bas sur ton sexe, viennent susciter entre tes lèvres d’agréables et minuscules caresses. A chacun de tes pas, tu sens dans ton œillet la présence dure, lisse, et agréablement fraîche du bijou d’anus en acier chromé, muni en son extrémité d’une pierre brillante aux angles polis, qui provoque autour de ta bague de chair la délicieuse sensation de te savoir investie. A chacun de tes pas, tu songes à ton sexe, à la chaleur qui s’en dégage, à l’excitation qui te gagne, peu à peu, de te procurer du plaisir dehors, en cette fin d’après-midi, à l’insu des gens qui te croisent, à l’insu des hommes qui remarquent le feu de tes joues, qui se retournent sur la danse gracieuse de tes hanches soulignée par les mouvements de ta jupe courte. Tu songes aussi à ce qui t’attend, sans savoir ce qui va se passer, depuis le moment où tu as quitté cette chambre d’hôtel dans laquelle je t’ai priée de me rejoindre. Tu envisage déjà le moment où tu vas y retourner ; au moment où j’allierai mes mains, mes doigts, ma bouche, mes lèvres, mon sexe, aux plaisirs que tes jouets érotiques te procurent déjà…
Le hall de l’hôtel est presque sombre, en contraste avec la lumière extérieure. Tes talons hauts claquent et résonnent sur le dallage devant l’accueil, mais la réceptionniste te jette à peine un regard, trop occupée à répondre au téléphone.
Chambre 169, au premier étage, et tu montes l’escalier prestement, en faisant voleter ta jupe autour de tes cuisses longues et bronzées. Un regard à droite, sur le palier, un autre à gauche, la chambre dans laquelle je t’ai donné rendez-vous se trouve dans cette direction, au fond d’un couloir à la moquette épaisse qui étouffe tes pas.
J’entends les trois petits coups que tu frappes à la porte, et ils font écho à mon cœur qui se met à battre plus fort.
Je te regarde pénétrer dans la chambre, dans laquelle j’ai tiré les volets pour en accentuer la pénombre. Tu porte un petit bustier noir, laissant tes épaules dénudées, et dont l’échancrure fait apparaître, en demi-lune, tes seins agréablement arrondis. Sur tes reins, ta jupe courte, noire également, ondule sensuellement quand tu t’avances vers moi.
Tu vas pour me dire quelque chose, mais d’un doigt sur tes lèvres, je t’interromps :
” – Je t’ai apporté quelques surprises…déshabille-toi, tout de suite, s’il te plait”.
Légèrement agacée par cette entrée en matière péremptoire, tu me réponds d’un : “Bon !”, un peu sec.
Je m’assieds sur le lit, amusé par ta moue un peu renfrognée, et devant mon sourire en coin, tu te laisse dérider, en te rapprochant :
“- J’enlève tout ? Tu ne préfères pas m’aider ?”
Je me laisse tenter, et comment pourrais-je résister ? Je m’étais pourtant promis de ne pas brusquer les choses, mais tes cuisses rondes et longues à quelques centimètres de mon visage font un appel trop tentateur. J’y porte ma main, remontant lentement le long de ta cuisse, soulevant peu à peu le voile de ta jupe, jusqu’à saisir dans ma paume l’arrondi parfait de ta fesse gauche. J’en presse l’onctuosité, avant de saisir le lacet du string que tu avais décidé de porter aujourd’hui. Je le fais descendre peu à peu autour de tes hanches, rabaissant du même coup devant mes yeux le rideau de ta jupette. Une fois la mince étoffe sur tes chevilles, tu en débarrasse l’une d’elle en dégageant ton pied, tandis que ton autre escarpin vient se poser sur mon genou, offrant à mes yeux le spectacle affriolant de ta cuisse arrondie sous ta jupe à moitié relevée, dévoilant une partie de ton intimité…Je pose ma main sur l’intérieur de ta cuisse, remontant presque à toucher tes lèvres charnues, mais je préfère, délicatement, mais fermement, en saisissant ton mollet, reposer ton pied sur la moquette.
“- Finalement, tu n’auras pas besoin d’enlever le reste”
Je prends pour te le donner le petit sac de velours bleu posé à mes côtés sur le lit. Tu découvres à l’intérieur un bijou d’anus, au brillant éclat de métal froid, de forme ovoïdale, surmonté à sa tête élargie d’une petite pierre bleue brillante.
Je te regarde, et tu souris, malicieusement, un petit éclat de plaisir faisant scintiller tes yeux bleus.
“Ce n’est pas tout, il y a autre chose…”
Tu replonge ta main dans le sac, pour en ressortir un lacet de velours-stretch noir, sur lequel est fixée, à deux endroits distants d’une trentaine de centimètres, une chaînette d’or, elle-même soutenant une autre petite chaîne, laquelle traverse à intervalle régulier des perles blanches et rondes, avant de finir accrochée à un autre lacet de tissus qui vient rejoindre le premier.
Tu me lances, en riant : “- Holà ! C’est vraiment mini mini, comme string !”.
“- Tu me le mets ?”, ajoutes-tu, bien décidée à me faire participer à ton apprêt.
Je saisis la parure, la passant à l’un et l’autre de tes pieds, et la remonte doucement le long de tes cuisses. Et tu as ce geste délicieusement érotique, de soulever des deux mains le bas de ta jupe, aussi lente dans ton mouvement que je le suis dans ma progression, dévoilant ainsi peu à peu à mes yeux le dessin fin et délicat de ta chatte, tes lèvres charnelles, jusqu’aux contours bien nets de ta toison, rasée sous la forme d’un trait vertical.
Je glisse le lacet de velours autours de tes reins, les petites perles venant s’ajuster au milieu de tes lèvres, tu plies alors légèrement les genoux, pour ouvrir à peine ta fente, tandis que je règle de chaque coté de tes hanches les attaches de la chaînette, de manière à ce qu’elle soit ni trop lâche, ni trop serrée, et que la première des perles viennent délicatement buter sur ton clitoris. “- Ça va ? ce n’est pas trop gênant ?”
“- Non, non, c’est bien…les perles me frottent un peu contre les lèvres, mais ce n’est pas désagréable…et puis, je sens que d’ici peu de temps, ça sera encore mieux…hum, oui, continue…” me réponds-tu d’une voix légèrement altérée. J’ai entrepris en effet de faire rouler d’un doigt, une à une, les billes qui te parent, depuis celle qui butine ton bouton de rose, jusqu’à la dernière, presque dans ton vagin, déjà humide de ta rosée naissante.
“Parfait. Maintenant, installe-toi confortablement sur le lit, que je puisse te mettre le bijou”.
Tu t’agenouilles sur le couvre-lit, la tête posée dans l’oreiller à la taie blanche et fraîche, les jambes écartées, tes fesses haut perchées faisant remonter la voilette de ta jupe à la naissance de ton sexe.
C’est mon tour d’avoir la voix qui tremble un peu : “Humm, c’est très appétissant, comme vision…” Difficile pour moi de contenir mon trouble, devant la posture ô combien excitante que tu m’offres, tes cuisses entrouvertes, tes fesses bombées qui se dessinent sous l’étoffe, les lèvres de ta chatte qui retiennent entre elles la chaînette dorée qui les traversent en leur milieu, et les perles qui viennent agrémenter de leur rondeur brillante les pétales roses de ta chair secrète.
Je m’agenouille derrière toi, tout en réchauffant entre mes doigts le métal du bijou intime. Je le glisse ensuite dans ma bouche, ne laissant dépasser que la pierre entre mes dents, pendant que de mes deux mains, je remonte sur tes reins ta jupette dérisoire, caressant au passage la chair moelleuse et ferme de tes fesses. Le lacet de velours s’insinue parfaitement dans ta profonde vallée, tendu par ta posture soumise. Et j’ai follement envie de te préparer à l’aide de ma bouche et de mes lèvres, d’assouplir ton passage étroit par le contact légèrement râpeux de ma langue humide dardée sur ton œillet plissé…
Mes mains encerclent à demi le haut de tes cuisses, tandis que de mes deux pouces je caresse tes lèvres entrebâillées sur ton désir, jouant avec la perle à présent ointe de ton nectar, la poussant à l’intérieur de ton vagin, la faisant glisser et rouler un peu le long de tes parois que plaisir et excitation ont rendues pourpres et luisantes, tandis que la chaînette d’or s’incruste légèrement dans tes chairs intimes.
Je reprends alors dans mes doigts le bijou d’anus, à présent bien chaud et humide de ma salive, pour le faire pénétrer entre tes nymphes…Tel un petit pénis, il glisse sans peine au milieu de ta liqueur, et je le retiens par la pierre, le faisant tourner, aller et venir entre tes cuisses offertes, ouvertes…
Je dégage alors un peu le lacet, en le tenant sur le côté, et entreprend de caresser ton œillet, en faisant sortir de ta chatte l’ovoïde de métal, le glissant le long du périnée jusqu’aux fronces de ton étoile bistre.
La forme parfaitement lisse et arrondi de l’objet s’inscrit parfaitement au centre de ton anus, et maintenant verticalement le bijou, je te laisse t’habituer un peu à la présence roide et insistante, avant de le faire pivoter dans un sens puis dans l’autre, afin d’élargir sous la poussée légère ton œillet de chair…Malgré ton désir de l’absorber, l’engin est cependant un peu trop évasé pour te forcer d’une seule passe, et je le reporte à ma bouche pour le ré humecter, goûtant par-là même à la saveur de ton parfum… D’une voie étouffée par l’oreiller, tu me demande de te lécher, pour favoriser l’intromission. Demande aussi nécessaire que plaisante à prodiguer, je me penche alors sur tes fesses, après avoir reposé le bijou sur le lit, et je saisis fermement tes deux globes, pour les écarter plus encore… Je suis du bout de la langue le chemin allant de tes reins jusqu’à ton anus, goûtant avec plaisir le velouté de ton étoile d’amour, à la sensation sous mes papilles si particulière de chair douce et élastique. Je le lèche longuement, le patine, l’imbibe de ma salive chaude, creusant peu à peu son orifice, l’élargissant encore et toujours sous la caresse râpeuse. Le jugeant à présent à point, je me redresse, et reprenant l’œuf de métal, après l’avoir à nouveau sucé, je le repose sur le petit creux que forme maintenant ton anus. Tu souffle doucement entre tes lèvres, détendant tes chairs pour permettre la pénétration. J’ai cette fois-ci peu à forcer pour que ton petit orifice peu à peu englobe le bijou chromé, puis d’un seul coup, l’absorbe. Tu gémis, à peine, resserrant aussitôt ta bague de chair bistre autour de l’étroit col serti de sa pierre ronde qui seule à présent ressort entre tes fesses.
“Voilà qui est fait. Ça va ?”
” Humm…oui, ça va…faut juste que je m’habitue un peu, avant de bouger”
Je te caresse doucement les fesses, pour te détendre, en prenant soin de ne pas toucher à l’objet inquisiteur, te laissant te faire petit à petit à sa présence…Je recouvre ensuite tes reins de ta jupette, après avoir réajusté le lacet du string, puis t’aide à te relever.
Tu tourne au coin de la rue, apercevant, à quelques centaines de mètres devant toi, l’enseigne de l’hôtel que tu as quitté, à ma demande, une dizaine de minutes plus tôt. Ton pas se ralentit un peu, désireuse d’encore goûter au délice de marcher au milieu des passants, munie de tes parures intimes qui te procurent de petites décharges de plaisir dans le creux des reins.
J’ouvre à nouveau la porte sur un visage dans lequel tes yeux sont devenus brillants, tes joues beaucoup plus rouges que la température extérieure, bien qu’agréable, ne puisse le provoquer, et tu te rapproche de moi, me saisissant les mains pour les porter à tes reins, en me chuchotant que tu as le ventre en feu, et que tu veux que je te soulage, là, maintenant, tout de suite.
Je t’entraîne alors jusqu’au lit, t’allongeant sur le ventre, te faisant reprendre ta posture offerte, sacrifiant une décence dont tu n’as que faire au désir brûlant qui t’a saisi depuis que je t’ai ornée de ces jouets érotiques.
J’observe avec gourmandise les effets de ta petite promenade sur tes lieux de plaisirs, après avoir à nouveau relevé ta jupe sur ta croupe appétissante. Tes lèvres sont à l’image de tes joues, et plus rubicondes encore, tandis que les perles qui ont accompagnées de leur doux frottement ton périple si plaisant, sont abondamment engluées de ton nectar intime. Je glisse un doigt dans ta grotte d’amour, le faisant pénétrer sans difficulté entre tes chairs moites et brûlantes, pour titiller du bout de sa pulpe tes parois soyeuses au parfum entêtant. Le désir que je ressens à la vue de ton sexe ouvert comme une fleur pourpre est tel, que je me défais de ma ceinture, de mon pantalon, laissant le champ libre à ma verge roide de l’envie de te pénétrer. Entre tes fesses, le bijou est toujours là, ornant en leur milieu de son œil bleuté la chair rose de tes fesses proposées comme une offrande à mon ego de mâle dominant la situation. Je m’approche de tes cuisses, jouant avec le bourgeon de mon gland contre les nymphes écarlates de ta chatte, faisant rouler entre ma chair et la tienne les perles blanches et rondes, allant chercher celle qui n’a cessée de provoquer de son jeu malicieux ton bouton de rose…
J’écarte un peu la chaînette d’or, pour te pénétrer, lentement, longuement, de toute la longueur de ma verge érigée en une hampe fière et conquérante, bousculant tes plis gorgés de la fournaise de ton désir, jusqu’à ce que mon pubis vienne se plaquer contre tes lèvres ouvertes. Tu pousses un gémissement lorsque je bute au fond de ton intimité, et je me retire, tout aussi lentement, découvrant mon sexe brillant de ta liqueur…
Saisissant ma verge d’une main, je suis les contours de l’orée de ton sexe à l’aide de mon gland cramoisi, comme si je voulais en élargir encore plus l’entrée, te pénétrant à nouveau, mais à peine, sentant avec un plaisir intense tes chairs enserrer mon bourgeon, ressentant également à travers tes membranes la présence dure dans ton anus du bijou qui te remplie…
J’ai soudain envie de prendre sa place, de m’immiscer dans ton étoile d’amour, de profiter de l’ouverture qu’il a créé entre tes fesses…Te pénétrant une nouvelle fois profondément, je te fais part de ce que je souhaite, te demandant alors de m’aider à t’ôter le bijou. Délicieuse sensation lorsque tu te mets à vouloir expulser l’objet pénétrant, tandis que je le saisis délicatement entre deux doigts pour favoriser sa sortie. Je sens l’étroit fourreau de ton vagin qui se contracte autour de ma verge, tel un gant de velours moite et torride, me caressant sur toute la longueur de mon sexe en une succion terriblement excitante. Avant que tu ne m’achèves de la sorte, le bijou est cependant ressorti, son métal à la température de ton corps, presque brûlant, laissant ton œillet entrouvert sur son absence…
Je reste encore quelques instants dans ton ventre, le temps de saisir le tube de gel nécessaire au plaisir de la pénétration à venir, et de déposer du bout des doigts sur ton anus une grosse noisette du lubrifiant, avant de masser doucement ton œillet pour l’élargir à nouveau, la fraîcheur bienfaisante du gel l’ayant quelque peu surpris.
Je me retire alors de ton ventre, alliant ensuite à ton nectar qui me badigeonne un peu du lubrifiant sur toute la longueur de mon sexe. Je me redresse un peu, tandis que tu creuses tes reins, pour t’ouvrir plus encore, offrant le spectacle savoureux de tes fesses fendues en deux hémisphères charnus et tentateurs. Je pose mon gland turgescent sur ton entrée étroite, en me rapprochant encore un peu de toi, et tenant fermement ma hampe d’une main pour qu’elle ne dévie point, je te laisse œuvrer à ton intromission…J’apprécie avec plaisir les mouvements de tes reins pour peu à peu m’absorber, mélange de petits va-et-vient, de poussées plus fortes, de contorsion de tes fesses qui ondulent gracieusement sous mes yeux. Je vois peu à peu mon gland s’enfoncer, ton œillet de chair s’évaser sur la peau soyeuse et bien huilée de mon bourgeon, se distendre en une bouche gourmande jusqu’à tout à coup m’avaler jusqu’à la collerette. Comme avec le bijou, ton anneau se resserre juste sous mon gland, et j’ai l’exquise sensation de tes chairs secrète qui le masse puissamment, le pressant comme un fruit bien mûr. Je pousse un gémissement de plaisir, ne bougeant plus, savourant cet instant d’extase parfaite, ma verge prisonnière de l’étau de ton œillet…
Je maintiens toujours d’un doigt le lacet du string sur le côté, tension faisant pénétrer entre tes lèvres les perles et la chaînette qui les retient, et glissant mon autre main sous ton ventre, je viens cueillir entre mes doigts la perle dédiée au plaisir de ton clitoris. La position me fait lentement forcer le passage brûlant de tes reins, et tu gémis sous la poussée pénétrante…Je masse doucement ton bouton, tantôt avec le doigt, tantôt avec la perle qui roule sous mes doigts, alors que je suis à présent complètement enfoui entre tes fesses, mon ventre venant épouser l’arrondi de tes globes. Je sens soudain l’une de tes mains qui touche la mienne, entre tes cuisses, et qui vient chercher mes couilles, pour les caresser, les tâter, les serrer délicatement entre tes doigts fins et agiles.
Je ne peux plus bouger, succombant au plaisir que tes doigts me procurent, et j’accélère alors mes caresses sur ton bouton saillant, le faisant rouler, le saisissant entre deux doigts, le pinçant à peine, le relâchant, appliquant et pressant toute la longueur de ma main sur ta fente ruisselante dans laquelle les perles continuent à participer à ton émoi. Tu gémis soudain plus fort, un cri bref, en te pressant brutalement contre moi, contre ma main plaquée sur ton sexe, et les saccades de ton orgasme, enserrant ma verge de leurs contractions, me libèrent brutalement en jets salvateurs.
J’ai tout doucement, délicatement, remis entre tes fesses le bijou de métal, après l’avoir enduit à nouveau de gel intime, pour que tu gardes ainsi en toi les fruits de ma jouissance. Je t’ai longuement et tendrement massé les reins, le dos, les fesses, pour te détendre complètement. J’ai remis correctement le string de perle en place, autour de tes hanches, puis arrangé sur ton front une mèche de tes cheveux, collée par la chaleur de nos ébats. Tu es prête, à nouveau, à affronter le monde.
“J’ai retenu une table dans un restaurant, pas loin. On va dîner ?”
Auteur anonyme pour Piment Rose
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